Bonjour à tous
Je viens de relire le roman de Montherlant, les célibataires.
Presque une trentaine d'années qu'il est dans ma bibliothèque.
J'ai eu ma période Montherlant dans les années 80, le cycle des jeunes
filles, un vrai délice de mysoginie, HDM etait homosexuel.
Son théatre, La Ville dont le prince est un enfant (1951).
Et Les célibataires.
Et bien la magie opère encore!
Nous suivons les pérégrinations de deux ratés, l'oncle et le neveu, aristocrates, sans argent et sans vitalités.
Voila 20 ans qu'ils louent une maison boulevard Arago, mais la mort de la mère du neveu accélère leurs déconfitures.
Il faut quitter Arago, pour aller ou?
Drôle et captivant, mais les rires cessent, après tout, se roman se termine mal.
"Eh quoi,il n'y a pas mort d'homme;"
Hélas, si.
A+