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 Jacques le fataliste et son maitre- Denis Diderot

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Margot
Pimousse cassis
Pimousse cassis
Margot


Nombre de messages : 2309
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MessageSujet: Jacques le fataliste et son maitre- Denis Diderot   Jacques le fataliste et son maitre- Denis Diderot EmptyMar 21 Nov 2006 - 21:07

L'auteur
Source wikipédia

Vingt années de la vie de Diderot et son engagement dans l'œuvre des Lumières sont indissociables du travail accompli autour de l'Encyclopédie. Pour tout les détails concernant la genèse, le contenu et les péripéties éditoriales de cette œuvre, nous renvoyons à l'article qui lui est consacré.

5 octobre 1713 : naissance à Langres dans une famille bourgeoise bien nantie.
1730 : études de philosophie à Paris. Ses premières années à Paris ne sont pas bien connues. Il mène une vie de bohème et survit de traduction, de petits emplois et de ruses familiales.
1741 : rencontre avec Jean-Jacques Rousseau.
1743 : mariage clandestin avec Anne-Toinette Champion, lingère.
1745 : rencontre Condillac.
1746 : parution des Pensées philosophiques, immédiatement condamnées.
1747 : débuts de l'Encyclopédie, avec Jean d'Alembert.
1749 : Les positions matérialistes de la Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient entraînent son arrestation et incarcération au château de Vincennes. Après cette expérience physiquement et psychologiquement éprouvante, Diderot distinguera les œuvres respectant, au moins superficiellement, les dogmes de son temps, destinées à paraître de son vivant, des œuvres destinées uniquement à la postérité. Cette stratégie, courante dans le parti philosophique, est appellée la doctrine intérieure par Rousseau dans ses Confessions. Rencontre de Frédéric Melchior Grimm.
1750 : Diderot est nommé à l'Académie royale des sciences et des belles lettres de Berlin. Parution du Prospectus de l'Encyclopédie.
1753 : naissance de sa fille Marie-Angélique, seul enfant qui lui survivra.
1754-1755 : Suit les cours de chimie de Rouelle.
1755 : Diderot rencontre Sophie Volland, amante pour la vie.
1759 : premier séjour au Grandval, sur l'invitation de d'Holbach (commune de Sucy-en-Brie).
1760 : Diderot joue dans une nouvelle pièce de palissot en jouant le rôle de Dortidius.
1762 : Catherine II achète sa bibliothèque en viager, prétexte pour soutenir son travail philosophique.
1765 (juillet) : Diderot termine la rédaction de l'Encyclopédie avec une certaine amertume due au manque de reconnaissance, aux errements de l'édition et au comportement des éditeurs - Le Breton en particulier.
A partir de 1769, Grimm confie plus largement la direction de la Correspondance littéraire à Diderot et madame d'Epinay.
Août à mi-septembre 1770 : voyage à Langres pour organiser le mariage de sa fille avec Abel-François Caroillon de Vandeul.
9 sept. 1772 : mariage de sa fille.
11 juin 1773 : Diderot part pour Saint-Pétersbourg. Voyage physiquement éprouvant avec deux longues haltes en Hollande. Rencontre et discussions avec Catherine II. Les conditions de ce voyage auront certainement raboté sa vie de quelques années.
31 juillet 1784 : décès à Paris. Il est autopsié à sa demande. Il est inhumé à l'église Saint-Roch, dans la chapelle de la Vierge, le 1er août. Les tombes de l'église ayant été profanées à la Révolution, sa sépulture a aujourd'hui disparu.

Résumé

Comment s'étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s'appelaient-ils ? Que vous importe? D'où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l'on sait où l'on va? Que disaient-ils ? Le maître ne disait rien ; et Jacques disait que son capitaine disait que tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit là-haut.

Jacques, valet de comédie, cynique et bavard mais quelque peu philosophe, voyage en compagnie de son maître. C'est par ailleurs son fatalisme qui va donner son surnom à Jacques. Pour combler l'ennui, il promet à son maître de lui raconter la suite de ses aventures amoureuses.

Mais le récit est sans cesse interrompu soit par son maître, soit par des interventions ou incidents extérieurs, soit par des « histoires » autonomes venant se substituer au récit initial.

C'est lorsque enfin il peut reprendre le fil de son histoire personnelle que le roman s'achève.

Mon avis

POlyphonique, comme le précise le résumé un entremelement d'histoire qui donne du relief à cet ouvrage qui est tout de même philosophique. Cette lecture, devient plaisante. Néanmoins, on ne peux pas stopper sa lecture de peur de perdre le fil... cette difficulté est augmentée par la longueur.
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