- Alinoé a écrit:
- et c'est anti écolo, car ils détruisent toute la nature autour d'eux quand il se battent. .
looooooooooooool
Alors ça, jlavais jamais entendu lol
Le problème est qu'ils ne peuvent pas se battre dans l'espace. Ceci dit, ils ont la présence d'esprit de choisir des lieux désert pour les combats. ils le disent eux memes dailleurs.
- Citation :
- y a un contraste entre l'innocence du petit garçon à la queue et sa très grande force, et cela crée un effet très comique.
Oui. Sangoku n'est autre que le Roi-singe des légendes chinoises.
Bon, on va discuter un peu de la différence DB / DBZ
Dabord, connaitre Toriyama.
A l'origine, c'est un dessinateur humoristique. Ses nombreux mangas traitent toujours de personnages et d'univers loufoques (drslump, histoires courtes, Cashman)
Dragon ball garde cette emprunte. Pilaf est ridicule, L'armée du ruban rouge avec son commandant bleu bellatre et son "nain rouge" comme chef, excellente. Tortue géniale, vieux maître pervers, légendaire.
Dragon ball est évidemment un manga vraiment unique, et je dirais à part avec DBZ.
DBZ, c'est la suite logique (et commerciale) de DB, mais attention, au moins jusqu'à la saga Freezer, le scénario demeure intéressant.
Dans Dragon ball Z, Toriyama veut donner une explication aux origines de Sangoku (qui débarque de la planèete Saiyen), explicant ainsi ses transformations en singe. Les combats sont fulgurants, avec des ennemis surpuissants: radits, Vegeta et les démentiels Freezer et Cell. Au moins jusqu'à la planété Namek, on a droit à la longue quête des dragon ball, élément essentiel qui caractérisait DB. La saga cell n'est q'un épisode (quoique intéressant) voué à l'action.
L'univers change : Les hommes-animaux et les paysages fantaisistes s'effacent peu à peu de l'imaginaire de Toriyama. DBZ devient limite un monde réaliste (Bulma et Chichi font du shopping, Vegeta porte une chemise rose, Sangoku et Piccolo passent leur permis), Les bastons sont omniprésentes. Ceci dit, je dois reconnaitre que la version Anime de DBZ a enormément de longueur. Les scènes de combats sont précédées d'interminables échanges de regards et d'un suspens pompant 20 min des 25 consacrés à l'épisode. Elles sont en revanche exceptionnelles et hyper dynamiques dans la BD.
On peut en effet aimer DB et ne pas aimer DBZ, mais l'inverse est rare. DB pose les bases de l'action qu'on retrouve de façon démesurée dans DBZ (lentrainement chez Tortue genial, les tournois d'arts martiaux, l'affrontement avec Piccolo).
Je ne m'étendrai pas sur la saga Bou, ainsi que sur Dragon ball GT. Ces créations ne furent pas dirigées par Toriyama et étaient totalement insipides.
Au moins jusqu'a Cell, il perdure un niveau de qualité incontestable.
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