The Ballad Of Reading Goal, Oscar Wilde

Mwahahaha, je suis nouveau et je pollue ...

Non, c'est juste que je n'ai vu que le portait de Dorian Gray sur Wilde, alors je me suis dis, Flo, il faut absolument que tu postes en beauté avec la ballade de le geôle de Reading.

Donc, la petite histoire, c'est que Wilde était homosexuel (comme beaucoup d'artistes de l'époque me direz vous). Le hic, c'est que son amant, Alfred Douglas, était le fils du Marquis de Queensberry ; ce dernier attaque alors Wilde pour dépravation de son fils et gagne le procès. Il est alors envoyé dans le répressive Reading Goal dans le sud de l'Angleterre, de 1895 à 1897. Là, il rencontre un homme condamné à mourrir pour avoir tué sa femme. Il raconte alors l'attente de cet homme dans l'univers carcéral de l'époque sachant que lui, sortira de prison et que le seul éxutoire du protagoniste est la potence. Il y écrit ce texte qui sera publié en 1898.

Je vous mets deux strophes



Je vous mets aussi un lien vers le poème entier http://www.love-poems.me.uk/wilde_the_ballad_of_reading_goal_s_d_insp.htm

Je suis désolé pour les non-anglophones, mais même sans comprendre, laissez vous porter par la sonorité, c'est magnifique.

Citation :

Mwahahaha, je suis nouveau et je pollue ...

Meuh non tu pollues pas....
C'est vrai que c'est un trés trés beau poéme et tres fort.

Je voulais trouver une traduction pour les non anglophones mais il existe un livre du meme nom traduit avec page de droite en français et de gauche en anglais afin de respecter la sonorité du texte .Donc impossible de trouver une traduction sauf trés tres approximative .


je vous laisse le lien du livre:
ballade de la geole de reading

Vivi, en fait, c'est ce livre que j'ai offert à ma môman, et comme ça m'avait plus, j'ai cherché sur Internet pour ne trouver que le texte anglais ...

Et sinon, je ne sais si c'est Wilde ou pas, mais j'ai (enfin ma mère) pas mal de bouquins comme ça, avec le texte original et une mauvaise traduction à gauche ; remarque, c'est utile d'avoir le texte en français quand même ...