Martiens, go home! - Frederic BROWN

Je reprends du service pour vous parler d'un livre. OUi, le soucis est que comme la plus part des livres dont je parle ici je l'ai lu il y a un moment et il a du flou qui s'est installé dans mon souvenir, me reste que ce qui est resté.



Voici la quatrième de couverture :

Citation :

Enfermé dans une cabane en plein désert, Luke Devereaux, auteur de science-fiction en mal d’invention, invoque désespérément sa muse – de toute évidence retenue ailleurs – quand soudain… on frappe à la porte. Et un petit homme vert, goguenard, apostrophe Luke désinvolte « Salut Toto ! ».
Un milliard de Martiens, hâbleurs, exaspérants, mal embouchés, d’une familiarité répugnante, révélant tous les secrets, clamant partout la verité, viennent d’envahir la Terre . Mais comment s’en débarrasser ?

Ce livre est un des premiers livre de science fiction que j’ai lu. Et ce fût une excellente entrée en matière, car c’est un livre plein d’humour. En effet imaginez que du jour au lendemain des millions de petits hommes verts apparaissent dans la vie des hommes. Ils ne sont pas armés mais font beaucoup de dégâts. Ces martiens sont tout ce que vous pouvez imaginer de pire dans le domaine de l’exaspération, de la moquerie, de la raillerie, dans l’impolitesse et même dans le voyeurisme.

Résultat du jour au lendemain, tout les secrets des plus petits aux plus grands, des plus insignifiant au plus importants, sont révélés au public, on enregistre une baisse brutale de la popularité du roman de science fiction, et aussi une chute de la natalité (lisez le vous saurez pourquoi). Bref, c’est un livre à lire car un petit bijou d’humour, mais il soulève aussi d’autres questions plus sérieuses comme la place de la vérité dans les relations humaines et les sociétés, et la sur la réalité et l’illusion.

Moi, j'ai aimé ce livre.
Je l'ai lu en mai 2005. Ce livre est très bien je vous le conseille, il est rempli d'humour, je vous le conseille. L'histoire se base sur l'arrivée des extraterrestres mais le personnage principal ne sais plus si c'est vraiment la réalité.